Finance

Les règlements régissant sur la dépréciation d’immobilisations en Belgique

Quand un bien commence à perdre de la valeur au point que son tarif net comptable devienne supérieur à sa présente valeur, une sorte de dévaluation doit être remarquée dans les comptes de l’entreprise. Cet article revient bien évidemment sur cette notion capitale dans le domaine de la comptabilité d’entreprise.

Dépréciation d’immobilisation : définition

En général, une dépréciation d’immobilisation indique le constat occasionnel de la perte de valeur d’un mobilier. Plus encore, la valeur actuelle du bien se trouve inférieure à sa valeur nette comptable. Ici, les règles de dépréciation exposées s’appliquent aux biens corporels et incorporels des entreprises à Saint-Gilles.

Les dévalorisations d’un bien intéressent l’ensemble des actifs encore utilisés par une société. En effet, elles ne paraissent pas du tout irréversibles. Elles sont reprises si la valeur nette comptable devient égale à la valeur actuelle. Dans le cas contraire, il s’avère essentiel de procéder à la comptabilisation en lieu du bien et d’appliquer le principe d’amortissement exceptionnel.

Selon le comptable à Saint-Gilles, Ixelles ou à Bruxelles, les dépréciations d’immobilisations sont caractérisées par des charges chiffrées et facturées. D’ailleurs dans certains calculs, elles doivent être réinsérées en vue de connaitre le cash-flow ou la capacité d’autofinancement de la société.

Quelques règles à respecter pour déprécier un bien mobilier

Avant la détermination coût de la dépréciation, le comptable à Saint-Gilles doit s’assurer de l’existence d’un indice de perte de valeur propre à l’actif de la structure. Il doit à ce titre vérifier la date d’inventaire, le moment de l’accomplissement de la situation comptable intermédiaire. En ce sens, il faut mener un test de dépréciation et rechercher le prix de la valeur actuelle du bien.

Ici, l’enjeu serait d’obtenir une valeur estimative de la valeur vénale de l’immobilisation. Tout au moins, il est primordial de trouver la valeur d’utilité du bien pour l’entreprise. Entre les deux se trouve la valeur actuelle qui est en général la valeur la plus élevée.

La valeur vénale ou la valeur du marché représente le coût qui pourrait être acquis lors de la cession de l’équipement. L’opération se déroule en plus dans les meilleures conditions de marché. Pourtant, la valeur d’usage appelée aussi valeur d’utilité se calcule à partir des flux nets de trésorerie actualisés de la société attendus du bien ainsi qu’à sa revente, actualisée également et à l’issue de la durée d’usage.

Comptabilisation d’une dépréciation d’un bien d’entreprise

Le cas échéant et en plus de l’amortissement, la société implantée dans toute les villes en Belgique se trouve dans l’obligation de comptabiliser une dépréciation d’un bien. L’objectif de cette action sert à ramener toutes les immobilisations à leurs justes valeurs (valeurs actuelles).

Le prestataire comptable dans la ville agit en effet en débitant le compte « dotation pour dépréciations des immobilisations incorporelles et corporelles » ou le compte lié à la « dotation pour dépréciations exceptionnelles ». Il sera aussi en mesure de créditer le compte de l’entreprise associé à la « dépréciation des immobilisations » qui n’est autre que le compte subdivisionnaire du compte 29.